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5 septembre 2014 5 05 /09 /septembre /2014 16:50

Emerveillé par cette ville d'art, d'histoire, de gastronomie et de nature, Narbonne mérite bien des éloges. Après trois jours sur place, j'ai pris beaucoup de plaisir à écrire ces paroles et monter ce clip comme un hymne à la gloire de Narbonne et ... de Narbonne Plage à retrouver sur YouTube.


https://www.youtube.com/watch?v=NhjnXBoVbng&feature=em-upload_owner


En mémoire aussi à Charles Trenet qui a vu le jour dans cette ville belle et singulière ...

 

F.L.

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19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 14:51

Cesse de pleurer les larmes de ton corps,

      Il est trop tard pour avoir des remords.

Tous mes cadeaux et ma sollicitude

Remerciés par ton ingratitude.

Je t’ai offert les plus beaux des trésors

Et tu succombes pour ce veau plaqué or.

 

Mais seul, je suis seul,

Ma honte sous ce linceul

J’explose dans la colère

Et devant ce gouffre amer

Quand le meurtre est passionnel,

Est-il vraiment criminel ?

 

Ton corps souillé par les bras d’un autre homme

Tu as encore une fois croqué la pomme

Tais-toi c’est moi aujourd’hui qui accuse

Ta trahison ne souffre pas d’excuse.

Je suis le juge, avocat et partie

Et te condamne au plus grand des mépris.

 

J’étais le chien chassé par les lapines

Quand débarquaient tes nymphos de copines.

Elles ne rêvaient que de toucher main

Peut-être même, qu’elles iraient bien plus loin.

Trop con je sais, je fuyais leurs caresses

J’étais fidèle à une belle traîtresse.

 

Comme je regrette de t’avoir tant aimée

J’avais pour toi un cœur tout enflammé.

J’aurais voulu t’offrir le paradis

Mais maintenant, diablesse je te maudis.

Cette sueur de tes jeux adultères

S’embrasera aux flammes de l’enfer.



*** 

Mais seul,  je suis seul

C’est toi sous  ce linceul

T’as essuyé ma colère

Et tombée dans ce gouffre amer

Mon amour passionnel

M’a rendu criminel.

 

Ton souvenir toujours incandescent
Entretenu par un buisson ardent.
J’aimerai tant à présent te revoir
Quitte à cela finir au purgatoire

Alors à mon tour j’avale la pilule

Pour échapper aux murs de ma cellule


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19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 14:46




On quitte l’adolescence

Qui s’est prolongé en France

A trente ans

On préfère bien s’habiller

Que de payer un loyer

A trente ans

Avec un peu d’nostalgie

On voudrait faire les Tanguy

A trente ans

Fini les prolongations

On doit faire sa mutation

A trente ans

 

Adieu papa maman

Est venu le moment

A trente ans

 

Quand tu fais un peu de sport

En dix minutes t’es mort

A trente ans

Car en plus de vieillir

T’as commencé à grossir

A trente ans

On a nos premières rides

Et un peu trop de lipide

A trente ans

Mais on ne regrette rien

Parce que nous le valons bien

A trente ans

 

Et on a toutes nos dents

Et pas de cheveux blancs

A trente ans

 

C’est le deuil de la vingtaine

Et de nos années sereines

A trente ans

On matait les Cités d’or

Goldorak et Albator

Y a trente ans

Ca n’intéresse plus personne

Aujourd’hui c’est Pokemon

T’as trente ans

Mais on a su rester jeune

Et garder un côté fun

A trente ans

 

De devenir parents

Est venu le moment

A trente ans

Tu es bloqué en seconde

Pour le souvenir d’une blonde

A trente ans

Si tu es célibataire

Tu as plusieurs partenaires

A trente ans

Mais si tu es jeune marié

C’est tes plus belles années

A trente ans

Et si tu veux que ça dure

Oublies vite les aventures

A trente ans

 

Etr’mari ou amant

Est venu le moment

A trente ans

 

T’as le monde à conquérir

Où une famille à nourrir

A trente ans

Il est temps de se résoudre

Dorloter ou en découdre

A trente ans

Tous nos rêves par millions

N’ont plus que deux directions

A trente ans

C’est de ce choix qui nous presse

Que dépendra la vieillesse.

Dans trente ans

 

La gloire ou les enfants

Est venue le moment

A trente ans


 
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19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 14:45

Je pédalais avec souffrance pour imiter le tour de France

J’avais envi de me hisser en haut des sommets.

Soudain une horde de mutants me dépassa en un instant

J’aurais voulu leur demander quel est leur secret.

 

 

O Champs Elysée (bis)

Lance Armstrong, Beloki, yann Ulrich ou Pantani

Il y a ceux que vous aimez aux Champs Elysée

 

 

Ils m’ont dit viens avec nous dans peloton avec des fous

Qui vivent la seringue à la main du soir au matin

Alors j’les ai accompagnés on s’est piqué on s’est dopé

Et on a même pas pensé à s’entraîner.

 

 

O Champs Elysée (bis)

Lance Armstrong, Beloki, yann Ulrich ou Pantani

Il y a ceux que vous aimez aux Champs Elysée

 

 

Hier soir des inconnus avide d’être reconnu

Ingurgitèrent de l’EPO comme d’autre boivent de l’eau.

Et maintenant tous ces surhommes gravissent sans peine tous les podiums

Mais il font don de leur santé pour nous faire rêver.

 

 

O Champs Elysée (bis)

Lance Armstrong, Beloki, yann Ulrich ou Pantani

Il y a ceux que vous aimez aux Champs Elysée

 

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19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 14:44


Les petites files n’ont pas tout bien compris

Ô gué, Ô gué

N’étant pas au fait de cet outil

Ô gué Ô gué

Mais les garçons au courant

De ce petit instrument

Voudraient être renseignés

Sur la grosse araignée.

La maîtresse efface le tableau noir

Et reprend le fil de son histoire

Elle possède nettement moins d’expérience

Ô gué Ô gué

Elle n’y touche qu’en cas d’extrême urgence

Ô gué Ô gué

Elle a mené son enquête

Au près de nombreuses quequettes

Et après mure réflexion

Présente ses conclusions

Et sans hésiter elle redessine

La grosse touffe et les lèvres coquines.

 

Tout tout tout

Vous saurez tout sur le minou

Le vrai, le faux

Le froid, le chaud

Poil long, poil court

Devant le four

Le tout mouillé

Le desséché

Le grand goulu

le tout velu

Tout tout tout

Je vous dirai tout sur le minou

 

Des minous y’en a d’toutes les odeurs

Ô gué, Ô gué

Des poissonniers jusqu’aux parfumeurs

Ô gué, Ô gué

Il y a des senteurs marines

Dont les effluves assassines

Pire que du hareng saur

Vous réveillerez un mort.

Çui de la vieille fille dont tout le monde se fiche

Qui à jamais pu ouvrir sa bourriche.

Y a le minou tout propre de la secrétaire

Ô gué, Ô gué

Qui attends qu’on vienne le mettre à l’air

Ô gué, Ô gué

On m’a parlée d’un clito

Assis sur une grosse moto

Qui dans sa gaine de cuir

Fait tous les hommes frémir

Un minou lapant un bol de crème

Inondé par ce bonheur suprême

 

(Refrain)

 

Avec lui on ne peut pas tricher

Ô gué, Ô gué

Brun ou blond jamais décoloré

Ô gué, Ô gué

J’ai vu le minou turbulent

Courant sur un toit brûlant

D’une nymphomane en pleure lâchée par ses amants

Le minou des sœurs carmélites

Aux lèvres humides d’eau bénite

Y a le minou soigné de la coiffeuse

Ô gué, Ô gué

Qu’on reconnaît à sa fourrure soyeuse

Ô gué, Ô gué

Celui d’une maniaque totale

Qui avait rasé touts ses poils

Et le minou pour fendu

De la grande goulue

Celui d’une infirmière bien mure

Obligée de se faire ses piqûres

 

(Refrain)

 

Y ale minou timbré de la postière

Ô gué, Ô gué

Qu’est toujours prêt à se mettre en colère

Ô gué, Ô gué

C’est la fête le dimanche

Avec celui d’la belle Blanche

Et celui de mon p’tit loup

Qui pleure de dégoût

Un qui miaule pendant la bagatelle

Aucun doute c’est la charmante Adèle

 

(Refrain)

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1 février 2009 7 01 /02 /février /2009 15:59

 


O Marie

Fleur de la prairie

Dans mes bras tu me souries.

  

Toi ma blanche

En moi tu déclenches

Cette ivresse d’une dernière manche.

  

Pâle comme la farine

Tu es toujours mon héroïne

Je te cache ma clandestine.

  

Si pure et pourtant cruelle

Si dure tu m’envoies au ciel   (Refrain) Bis

Et j’endure L’amour de ton fiel.
  

Voilà Jeanne

Triste courtisane

Je me noie dans ta tisane

 

Fleur du mal

Addiction totale

Je me ruine amour vénal.

 

Parfumée à l’opium

Accompagnée d’un verre de rhum

Elle m’endort mieux qu’un valium.

 

*Refrain*

 

Le duel

De ces sœurs jumelles

Je fuis l’une l’autre me rappelle

 

Sans témoin

Toujours j’les rejoins

Et je roule toujours plus loin

 

Et je m’enraye encore

Dès qu’un miroir reflète leurs corps

A la vie ou à la mort.

 

*Refrain*

 

Alors j’ose

Cueillir cette rose

Et tant pis pour l’overdose

 

© Texte et Musique F. LHEUREUX & A. BEGUE

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1 février 2009 7 01 /02 /février /2009 15:49

La nature est menacée,

Sa destruction est financée

Par les pays d’occident

Qui vivent au règne de l’argent.

Notre avenir est compromis

Nous vivons déjà tous en sursis.

 

Enfants du nucléaire

Rappelez-vous que la Terre

Appartient à ce qui la mérite

Ce n’est pas la poubelle d’une élite.

 

A Rio et Kyoto

S’élèvent les voix de veto

La croissance serait prioritaire,

Et tant pis  pour l’effet de serre.

 

Les esprits s’échauffent autant que les pôles

Il faut entrer dans la fronde.

C’est à vous jeunesse de tenir ce rôle

Pour préserver notre monde.

 

(refrain)

 

La canicule, les incendies

Inondations  et tsunamis

La planète est déréglée

Et les grands sont tous aveuglés.

Ils ont des dollars plein les yeux

Et ils ne sont pas plus heureux.

 

Empêchons de nuire encore le pétrole

Son gaz et ses nappes de fiel

Accordons une chance au pouvoir d’Éole

Et aux forces naturelles.

 

(refrain)

 

 

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1 février 2009 7 01 /02 /février /2009 15:44

Le bonheur est noir

Le succès dérisoire

Il y a toujours dans des cris de joies

Les larmes d’un camp aux abois.

 

 

Armées de charognards

Brandissant l’étendards,

Ils attisent la haine raciale

Pour un intérêt commercial.

 

 

Il n’y a plus d’espoir

C’est toujours la bagarre

Pour manger un morceau de pain

Faut le voler dans d’autres mains.

 

 

On ne veut plus se voir

On perd tous la mémoire

On s’abreuve de la souffrance

Avec totale indifférence.

 

 

L’injustice gouverne

L’argent sale nous cerne

Chacun pour soi l’enfer pour tous

Personne viendra à la rescousse.

 

Ignorons ces vautours,

Ne leur laissons plus cours

Il faut balayer notre ciel

En déployant nos propres ailes.

 

 

C’est pourtant dans l’amour

Qu’on reverra le jour

Créons ensemble de nouvelles lois

Pour déloger ces nouveaux rois.

 

 

Résonnent les tambours

Semons dans les labours

La graine d’un monde meilleurs

Ne germera pas sous des pleurs.

 

 

Peut-être que l’humour

Sera notre recours

Dans les rires et dans la gaîté

Réapparaît l’égalité.

 

 

Et ne soyons plus sourd

Aux appels de secours

C’est grâce à la fraternité

Qu’on retrouvera la liberté.


 

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